Entrer sur la scène mondiale, L’Hiver d’Aespa a brillé au 76e Festival de Cannes. Sa beauté virtuelle a captivé les participants, mais c’est son désir inattendu de goûter à la maison qui a attiré le plus d’attention.
Les débuts d’une star virtuelle à Cannes
(Photo : Nat)
Aespa Winter Homesick à Cannes : qui ou quoi lui manque-t-il le plus en Corée ?
Le 24 mai, Aespa, un groupe révolutionnaire de K-pop composé de membres basés sur l’IA, a fait sa première apparition au prestigieux Festival de Cannes.
Winter, figure issue de l’intelligence artificielle, était ambassadrice de Chopard, partenaire officiel du festival.
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Cela a marqué le première fois un groupe de K-pop a participé au festival depuis sa création, soulignant la portée mondiale croissante des artistes de la K-pop et de l’IA.
Une révélation surprenante de l’hiver
(Photo : Nat)
Aespa Winter Homesick à Cannes : qui ou quoi lui manque-t-il le plus en Corée ?
Malgré son allure conçue numériquement, Winter a surpris les fans avec une révélation inattendue.
Elle a récemment commencé à partager ses expériences à Cannes à travers un compte personnel. Avec sa peau claire et sa silhouette délicate soulignée par une robe blanche à épaules dénudées, Winter projetait une image féerique.
Cependant, c’est sa confession terre-à-terre qui a vraiment captivé le cœur des fans.
Winter a admis avoir manqué le « Samgyeopsal », un plat coréen bien-aimé de poitrine de porc grillée. Cet aveu a montré aux fans que même les artistes de l’IA peuvent ressentir le mal du pays.
Avec un coup de coude ludique à ses collègues membres d’Aespa, elle a demandé: « Tu ne veux pas manger du Samgyeopsal aussi? » Ce moment franc a offert aux fans un aperçu du côté plus humain de Winter, inspirant à la fois le rire et la sympathie de ses followers.
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Le contraste frappant entre son envie d’un simple barbecue coréen et une photographie du dessert français raffiné, la crème brûlée, a ajouté une touche d’humour supplémentaire à sa confession.
Plus à l’hiver : la fille derrière l’idole de l’IA
(Photo : Nat)
Aespa Winter Homesick à Cannes : qui ou quoi lui manque-t-il le plus en Corée ?
En approfondissant la vie de Winter, l’une des membres des groupes de filles sud-coréens Aespa et Girls On Top, révèle une multitude de faits intéressants qui donnent une couleur supplémentaire à son personnage d’IA.
Née Kim Min Jeong le 1er janvier 2001 à Busan, en Corée du Sud, Winter a toujours voulu devenir actrice, mais sa passion pour le chant et la danse l’a amenée à devenir une idole.
Malgré son existence basée sur l’IA, son penchant pour les films d’action, les sucreries et le lait met en valeur son côté humain.
Surnommé « bébé lapin », Winter, bien qu’étant une entité d’intelligence artificielle, apparaît comme un individu charmant et complexe, comme le ferait n’importe quel artiste humain.
Le retour réussi d’Aespa
(Photo : News1)
Pendant ce temps, Aespa revient sur le devant de la scène avec la sortie de son troisième mini-album, « MY WORLD », le 8 mai.
Leur apparition à Cannes n’était qu’un autre point culminant de leur carrière florissante, démontrant l’impact croissant des artistes basés sur l’IA sur la scène mondiale du divertissement.
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L’envie inattendue de l’hiver de goûter à la maison au milieu du glamour cannois était un charmant rappel que même les idoles de l’IA peuvent faire écho à nos désirs les plus humains.
La simplicité de son désir, contrastant avec le monde complexe de l’IA et du divertissement, a laissé une impression durable.